Calendrier
Le satellite Gaia, pierre angulaire du programme spatial de l’ESA, a
été lancé le 19 décembre 2013, et le premier catalogue intermédiaire a
été distribué à la communauté scientifique à la mi-septembre 2016. Conçu
pour cartographier plus d’un milliard d’étoiles de notre Galaxie et
au-delà, Gaia permet d’obtenir des positions, des parallaxes et des
mouvements propres à un niveau de précision inégalé, ainsi que des
données photométriques et spectroscopiques. Les différents catalogues
que nous livrera la mission vont nous offrir un échantillonnage sans
précédent de notre Galaxie, et permettre des avancées dans la
compréhension de la physique stellaire et de la physique galactique.
Frédéric Royer
astronome adjoint à l’Observatoire de Paris
laboratoire GEPI
Observation annulée : météo médiocre et terrain trop humide
Si la météo est défavorable , l’observation est reportée au lendemain. Voir sur ce site la mise à jour faite avant 15H00 le jour de l’observation
Météo défavorable et terrain trop humide
Si la météo est défavorable , l’observation est reportée au vendredi de la semaine suivante. Voir sur ce site la mise à jour faite avant 15H00 le jour de l’observation
Si la météo est défavorable , l’observation est reportée au lendemain. Voir sur ce site la mise à jour faite avant 15H00 le jour de l’observation.
Si la météo est défavorable , l’observation est définitivement annuléé. Voir sur ce site la mise à jour faite avant 15H00 le jour de l’observation.
Si la météo est défavorable , l’observation est reportée au lendemain. Voir sur ce site la mise à jour faite avant 15H00 le jour de l’observation.
Si la météo est défavorable , l’observation est reportée au vendredi de la semaine suivante. Voir sur ce site la mise à jour faite avant 15H00 le jour de l’observation
Observation annulée, terrain non praticable
Si la météo est défavorable , l’observation est définitivement annuléé. Voir sur ce site la mise à jour faite avant 15H00 le jour de l’observation.
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Olivier Berné est astrophysicien à l’institut de recherche en astrophysique et planétologie (IREP) de Toulouse (Université Paul Sabatier)
Il travaille sur la physique des milieux interstellaires et astrochimie des macromolécules carbonées.
Il viendra nous raconter sa mission d’observation de la constellation Orion avec SOFIA (le télescope infrarouge américain embarqué dans un boeing)
Il a publié dans le n°2 de la revue « Carnets de science » du CNRS un article sur ce sujet